Le temps passe vite mais je n'ai pas oublié que quelques sujets d'actualité attendent et sans plus tarder, je vous en livre plusieurs à la suite et pas forcément en respectant l'ordre des dates.
Mercredi 24/10/2012, des hommes de la Sécurité civile ont enlevé une ogive d'obus de 95 mm dans un bois en bordure de la RD 70 en direction de Champenoux.
Cet engin n'a pas explosé au moment de son tir. |
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Depuis plusieurs semaines, certains panneaux d'entrée et de sortie du village ont été changés. C'est probablement le fait d'une harmonisation mais pas seulement.
L'ancien panneau... |
...et le nouveau |
Au cours de son existence, notre village a reçu des dénominations différentes sur lesquelles je reviendrai ailleurs. Mais il est bon de savoir que jusqu'en 1932, la commune se dénommait "Erbéviller" et que dans le département de Meurthe et Moselle se trouvait un "homonyme": Herbéviller qui existe encore aujourd'hui.
C’est seulement par un décret du Président de la République (Paul Doumer) du 2 février 1932 que le village porte le nom d’Erbéviller sur Amezule. En effet, au cours de la séance du conseil municipal du 14 juin 1931, les élus délibèrent pour demander le changement du nom de la commune pour la raison suivante :
« une grande partie des plis qu’il reçoit (le maire) de l’administration prennent une fausse direction et vont à Herbéviller ce qui occasionne plusieurs jours de retard, un certain nombre d’habitants se plaignent du même fait ». Le maire propose donc d’ajouter « sur Amezule », puisque c’est à Erbéviller même que le ruisseau prend sa source.
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Vendredi 26/10/2012, l'entreprise THIRIET a procédé au remplacement des bordures de trottoir dans le virage au niveau de la cabine téléphonique. Le trottoir était régulièrement "labouré" par des poids lourds peu scrupuleux.
Un véritable fossé commence à voir le jour.
L'entreprise termine les travaux en milieu d'après-midi et quelques heures plus tard, un véhicule articulé déplace et abîme les dernières bordures. Heureusement, le réflexe d'un habitant du village fait que nous connaissons l'immatriculation du camion en question. Les gendarmes prévenus ont identifié la société propriétaire qui prendra en charge la remise en état.
Ces bordures "chasse roues" doivent empêcher la détérioration du trottoir et sécuriser l'entrée du passage pour piétons.
Si le chauffeur avait voulu le faire, il n'aurait pas mieux réussi!
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Le coffre fort a résisté aux assauts des outils de ces individus sans scrupules.
Quelques traces sont visibles sur les portes.
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