dimanche 5 mai 2013

La nature dans tous ses états!

Bonjour,
Il y a un an à quelques jours près, je poussais "un coup de gueule" au sujet de l'état dans lequel des chemins et des prés avaient été laissés. Cette année, on prend les mêmes et on recommence! Au même endroit! Et l'origine est la même: l'exploitation d'acacias au lieu dit "la Charbonnière".
L'an dernier, les traces laissées avaient été effacées tant bien que mal et plutôt mal que bien d'ailleurs par le responsable; actuellement, et compte tenu de la quantité d'eau tombée ces derniers jours, il n'est pas question de remise en état. Mais on doit veiller au grain pour que, dès que les conditions le permettront, tout revienne dans l'ordre.
En attendant, voici les images de ces détériorations.
Ici, officiellement, pas de chemin!


















Un bourbier innommable!







Ce cliché reprend le centre du précédent de plus près.








La suite "logique!







Pour mettre le terrain dans un tel état, il faut dire que les responsables ont choisi la meilleure météo qui soit: les pluies qui, après les gelées ont tout simplement détrempé et gorgé d'eau la terre! S'ils avaient voulu réussir à défoncer ce pré, ils ne devaient pas s'y prendre autrement!















Ici, il s'en est fallu de peu que la borne présente au bord de l'ornière ne disparaisse!













Ici, tout l'espace disponible a été utilisé, quitte à rouler sur les cultures qu'on distingue à droite!







Et, comme si ça ne suffisait pas, voici maintenant quelques photos de déchets qui ne sont pas près de disparaître car il s'agit de morceaux de bâche plastique utilisée pour notamment couvrir les silos de maïs, de ficelle tout aussi synthétique, et d'un morceau de pneu qui a été découpé. Autant de cochonneries qui doivent être déposées dans les déchetteries. Mais c'est tellement plus facile de déposer ces encombrants dans des haies. Ni vu ni connu, enfin pas tout à fait car cette fois ci, il ne s'agit pas de "forestiers" mais bien de quelqu'un qui travaille avec la nature tous les jours. Je ne cite personne, suivez mon regard.  


































Les déchets visibles sur ces trois clichés ont été "maltraités" au cours de débroussaillages ce qui explique qu'ils sont en morceaux.
Pour les curieux, ce dépôt sauvage se trouve à un peu plus d'une centaine de mètres de la rue de la Libération.
Bien sûr, la végétation va pousser et cacher l'ensemble mais à l'automne, tout va réapparaître car rien de tout ceci n'est biodégradable.
Il y a encore du souci à se faire pour changer les mentalités.

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